Vendredi 8 novembre 1912
Carte-lettre d’Émilie Mertzdorff, épouse de Damas Froissart (Boulogne), à ses fils Michel, Pierre et Louis Froissart (Paris)
Vendredi soir
Mes chers enfants,
Je vous envoie un petit bonsoir de Boulogne, retour d’Hazebrouck en faisant l’école buissonnière quelque peu !... Arrêt à Saint-Omer, déjeuner chez Maurice[1] qui emménage tout comme nous. Pierre[2] est-il content de ses 2 dernières journées ? quand est l’oral ?
Il faudra demander au menuisier s’il désire être payé et ce qu’on lui doit. Vient-il encore ?
Si Defoort[3] a fini il peut partir demain pour chez lui jusqu’à mardi à moins qu’il ne préfère y aller plus tard. Votre papa[4] n’ira très probablement pas à Paris Lundi. Je vous embrasse tous trois.
Émilie
Notes
Adresse
Messieurs Froissart
29 rue de Sèvres
Paris
Notice bibliographique
D’après l’original.
Pour citer cette page
« Vendredi 8 novembre 1912. Carte-lettre d’Émilie Mertzdorff, épouse de Damas Froissart (Boulogne), à ses fils Michel, Pierre et Louis Froissart (Paris) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Vendredi_8_novembre_1912&oldid=56183 (accédée le 15 novembre 2024).
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