Defoort, Georges (1888-1918)
Dans les années 1910 il est plusieurs fois question dans les lettres de « Defoort » qui « dérouille et graisse les bicyclettes », travaille au jardin (16 novembre 1912) ou bien « travaille à réparer les 2 autos » (16 octobre 1913). Une lettre du 4 avril 1917 indique que, lors de son passage à Douai, « Defoort, revenant de permission », parle aux Froissart du « terrain qui se laissait travailler facilement », ce qui met sur la piste de Georges Victor Defoort (1888-1918), sapeur.
Georges (Victor) Defoort est le fils de (Charles) Liévin Defoort (né en 1853) et de Catherine (Elvire) Spanneut (née en 1855), tous deux cultivateurs, mariés à Lynde (Nord) en 1880, avec un contrat de mariage ; deux frères du marié sont ses témoins : Henri Louis Defoort, (né vers 1849) et Constantin Fidèle Defoort (vers 1854-1922).
Liévin Defoort et son épouse ont douze enfants :
- Achille Victor Defoort (né en 1881)
- Marie Sidonie Defoort (née en 1882)
- Emma Marthe Defoort (née en 1884)
- Gustave Defoort (né en 1885)
- Zélie Angèle Defoort (née en 1886)
- Georges Defoort (1888-1918), employé chez les Froissart. Sapeur au 3e régiment du génie, il est tué au combat de Montigny (Oise)
- Marguerite Defoort (née en 1889)
- Marthe Madeleine Defoort (29 septembre 1890-10 octobre 1890)
- Arthur Étienne Defoort (1892-1899)
- Lydie Defoort (née en 1895)
- Paul Defoort (né en 1896)
- Marcel Defoort (né en 1898).
En 1906, lors du recensement à Lynde (Nord), les aînés ont quitté le domicile familial, tandis que Gustave, Georges, Marguerite, Lydie, Paul et Marcel Defoort vivent avec leurs parents.
Notes
Pour citer cette page
« Defoort, Georges (1888-1918) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Defoort,_Georges_(1888-1918)&oldid=59528 (accédée le 15 novembre 2024).
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