Widdaü, Katherina (active autour de 1900)

De Une correspondance familiale


Autour de 1900 les Froissart emploient une jeune fille allemande, Katherina (Catherine) Widdaü. Louis Froissart se souvient : « En principe elle était là pour nous aider à apprendre l’allemand, mais elle avait si vite appris le français qu’elle ne parlait plus sa langue maternelle. Nous, nous l’aimions bien et plaisantions avec elle. »

Selon Émilie Mertzdorff-Froissart, « son père était tailleur, ou plutôt ils avaient je crois une maison de confection pour hommes dans laquelle elle travaille avec Maria sa sœur », « à Coblentz ou dans un faubourg » (lettre du 12 août 1909). Émilie Mertzdorff-Froissart reste en relation épistolaire avec elle : « Je viens de retrouver l’unique lettre de Catherine Widdaü que j’aie et qui remonte à 1904. C’était dans ce temps-là à Bonn, et non à Coblentz qu’elle était » (lettre du 3 septembre 1909).



Pour citer cette page

« Widdaü, Katherina (active autour de 1900) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Widda%C3%BC,_Katherina_(active_autour_de_1900)&oldid=56642 (accédée le 25 avril 2024).

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