Voir la source de Widdaü, Katherina (active autour de 1900)




Autour de 1900 les [[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]] emploient une jeune fille allemande,  Katherina (Catherine) Widdaü. Louis [[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]] se souvient : « En principe elle était là pour nous aider à apprendre l’allemand, mais elle avait si vite appris le français qu’elle ne parlait plus sa langue maternelle. Nous, nous l’aimions bien et plaisantions avec elle. »

Selon Émilie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]]-[[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]], « son père était tailleur, ou plutôt ils avaient je crois une maison de confection pour hommes dans laquelle elle travaille avec Maria sa sœur », « à Coblentz ou dans un faubourg » (lettre du [[Jeudi 12 août 1909|12 août 1909]]). Émilie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]]-[[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]] reste en relation épistolaire avec elle : « Je viens de retrouver l’unique lettre de Catherine Widdaü que j’aie et qui remonte à 1904. C’était dans ce temps-là à Bonn, et non à Coblentz qu’elle était » (lettre du [[Vendredi 3 septembre 1909|3 septembre 1909]]).

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|personnes citées=Widdaü (Katherina) ;  ;   Widdaü (Maria) ; Widdaü (M.) ;
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