Vendredi 5 novembre 1847
Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à Georges Louis Duvernoy (Paris)
593
Mon cher ami,
Nous sommes bien sensibles mon fils[1] et moi à l’aimable invitation que vous et Madame Duvernoy[2] avez bien voulu nous adresser pour Dimanche prochain et à laquelle nous aurons grand plaisir à nous rendre.
M. Roux[3] auprès duquel je me trouve dans ce moment et qui apprend que nous aurons l’avantage de nous trouver chez vous me charge aussi de vous en remercier en acceptant votre invitation.
Je vous[4] d’excuser le retard de ma réponse que j’espérais vous faire de vive voix aujourd’hui même et que je me vois dans l’impossibilité de pouvoir exécuter. Veuillez donc recevoir ainsi que Madame nos civilités empressées.
Votre tout dévoué confrère
C. Duméril
5–9bre
Notes
Notice bibliographique
D’après l’original au Muséum national d’histoire naturelle (Ms 2745, n°593)
Annexe
Monsieur le Professeur Duvernoy
Membre de l’Institut
31 rue D’Enfer
Paris
Pour citer cette page
« Vendredi 5 novembre 1847. Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à Georges Louis Duvernoy (Paris) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Vendredi_5_novembre_1847&oldid=42643 (accédée le 15 novembre 2024).
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