Mercredi 17 juillet 1872 (A)
Lettre d’Aimée Sophie Élisabeth Boblet (Paris) à Eugénie Desnoyers, épouse de Charles Mertzdorff (Vieux-Thann)
Paris, 17 Juillet 1872
Je puis donc espérer de vous voir Mercredi prochain, chère Amie, et d'avoir ce jour-là votre bonne fille[1] auprès de moi ? ce sera en effet notre dernière réunion de l'été.
Je vous engage bien à faire voir à notre grande élève ce qu'elle n'a pu étudier de l'histoire de France de Mennechet[2], et ensuite, si vous en avez le temps ; l'histoire grecque dans Chéruel[3].
Je n'ai pas trouvé dans votre envoi la note sur la formation des quatre grands empires anciens ; je vous serai bien obligée si vous voulez bien me la rapporter.
Au 24 donc ! je vous embrasse toutes[4] bien affectueusement.
S. Boblet
Notes
- ↑ Marie Mertzdorff.
- ↑ Édouard Mennechet (1794-1845), Histoire de France.
- ↑ Adolphe Chéruel, Histoire ancienne, à l'usage des maisons d'éducation.
- ↑ Eugénie Desnoyers-Mertzdorff, Marie et Emilie Mertzdorff.
Notice bibliographique
D’après l’original
Pour citer cette page
« Mercredi 17 juillet 1872 (A). Lettre d’Aimée Sophie Élisabeth Boblet (Paris) à Eugénie Desnoyers, épouse de Charles Mertzdorff (Vieux-Thann) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mercredi_17_juillet_1872_(A)&oldid=34969 (accédée le 15 novembre 2024).
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