Mercredi 17 juillet 1872 (B)

De Une correspondance familiale

Lettre de Caroline Boblet, veuve d’Edouard Charrier (Paris) à Eugénie Desnoyers, épouse de Charles Mertzdorff (Vieux-Thann)

original de la lettre 1872-07-17 B.jpg


17 Juillet

Encore quelques jours, bien chère Madame et jeune amie, et nous aurons le plaisir de vous serrer bien affectueusement la main, et d'embrasser nos chères petites élèves[1], et de causer quelques moments avec vous de tout ce qui vous intéresse : c'est un plaisir dont nous voudrions pouvoir hâter la réalisation ; mais enfin, patience, le 24 est proche !

Jusque là nos plus affectueux compliments. Je me rappelle à l'honorable souvenir de Monsieur Mertzdorff[2] : de bons baisers pour ces demoiselles

V. Charrier-Boblet


Notes

  1. Marie et Emilie Mertzdorff.
  2. Charles Mertzdorff.

Notice bibliographique

D’après l’original

Pour citer cette page

« Mercredi 17 juillet 1872 (B). Lettre de Caroline Boblet, veuve d’Edouard Charrier (Paris) à Eugénie Desnoyers, épouse de Charles Mertzdorff (Vieux-Thann) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mercredi_17_juillet_1872_(B)&oldid=34970 (accédée le 24 avril 2024).

D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.