Labourt, Jérôme (1874-1957)

De Une correspondance familiale


Émilie Mertzdorff, épouse de Damas Froissart, mentionne le patronage de l’abbé Labourt (lettre du 6 janvier 1916).

Jérôme Labourt, après le séminaire de Saint-Sulpice, est ordonné prêtre en 1897. Il est enseignant au collège Stanislas à Paris, apprécié par Louis Froissart (lettre de la mi-janvier 1913), fonction qu'il quitte pour Saint-Ambroise, puis pour Saint Hippolyte (1914 à 1920) ; cette fonction est mentionnée par le journal La Croix (1er octobre 1919). Jérôme Labourt est également responsable du patronage Jeanne d’Arc de l’île Saint-Louis. Il dirige le collège Stanislas à Paris de 1920 à 1924. Jérôme Labourt est curé de la paroisse Saint-Honoré d'Eylau ; vicaire général du diocèse de Paris et chanoine de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Théologien et historien du christianisme, Jérôme Labourt publie en 1904 Le Christianisme dans l'empire perse sous la dynastie sassanide (224-632), puis un cours d’instruction religieuse (1909), et surtout une traduction des Lettres de Saint-Jérôme en 8 tomes (1949-1963). Son « témoignage » accompagne la publication de L'Abbé Pératé. "In memoriam", Sermons et notes de l'abbé Pératé, réunis et présentés par Christian Olivier, Étioles, Seine-et-Oise, Atelier artisanal du Monastère de la Croix, 1957. In-16 (20 cm), 170 p., multigraphié.



Pour citer cette page

« Labourt, Jérôme (1874-1957) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Labourt,_J%C3%A9r%C3%B4me_(1874-1957)&oldid=56112 (accédée le 27 avril 2024).

D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.