Voir la source de Labourt, Jérôme (1874-1957)



Émilie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]], épouse de Damas [[Froissart, Léon Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]], mentionne le patronage de l’abbé Labourt (lettre du [[Jeudi 6 janvier 1916|6 janvier 1916]]).

Jérôme Labourt, après le séminaire de Saint-Sulpice, est ordonné prêtre en 1897. Il est enseignant au [[Collège Stanislas (Paris)|collège Stanislas]] à Paris, apprécié par Louis [[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]] (lettre de la mi-janvier 1913), fonction qu'il quitte pour Saint-Ambroise, puis pour [[Paris : Saint-Hippolyte et son patronage|Saint Hippolyte]] (1914 à 1920) ; cette fonction est mentionnée par le [[Presse & journaux|journal]] ''La Croix'' (1<sup>er</sup> octobre 1919). Jérôme Labourt est également responsable du patronage Jeanne d’Arc de l’île Saint-Louis. Il dirige le [[Collège Stanislas (Paris)|collège Stanislas]] à Paris de 1920 à 1924. Jérôme Labourt est curé de la paroisse Saint-Honoré d'Eylau ; vicaire général du diocèse de Paris et chanoine de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Théologien et historien du christianisme, Jérôme Labourt publie en 1904 ''Le'' ''Christianisme dans l'empire perse sous la dynastie sassanide (224-632)'', puis un cours d’instruction religieuse (1909), et surtout une traduction des ''Lettres'' de Saint-Jérôme en 8 tomes (1949-1963). Son « témoignage » accompagne la publication de ''L'Abbé'' [[Pératé, Marcel (1867-1954)|''Pératé'']]''. &quot;In memoriam&quot;, Sermons et notes de l'abbé'' [[Pératé, Marcel (1867-1954)|''Pératé'']], réunis et présentés par Christian Olivier, Étioles, Seine-et-Oise, Atelier artisanal du Monastère de la Croix, 1957. In-16 (20 cm), 170 p., multigraphié.
{{Biographie 
      |id=1000-01 
      |personnes citées=Labourt (Jérôme), prêtre 
      |lieux cités= 
      |catégorie=Biographie 
      }}