Egger, Émile (1813-1885)

De Une correspondance familiale

« M. Egger » fait le discours d’ouverture du cours de physique d’Emile Fernet que Marie Mertzdorff suit à la Sorbonne (lettre du 18 novembre 1878). Il s’agit d’Émile Egger, dont les discours d’ouverture des cours de l’Association pour l'enseignement secondaire des jeunes filles (années 1876 et 1878) sont publiés.
Henri Milne-Edwards suit ses conférences (lettre du 24 janvier 879).

Émile Egger, docteur ès-lettres (1833) est un helléniste. Il enseigne d’abord dans plusieurs lycées parisiens, puis à l’École normale supérieure en tant que maître de conférences de grammaire et enfin la littérature grecque à faculté des lettres de Paris (1855-1884). Il est membre de l’Institut (1854). Ses biographes notent qu’il est atteint de cécité.
Émile Egger épouse en 1845 Élisabeth Dehèque (1825-1910), fille de l'helléniste Félix Désiré Dehèque (1793-1870) et de Victorine Solvet (1802-1887). Ils ont trois enfants :
Ida Egger (1846-1927), épouse du médecin Léon Lereboullet (1842-1914)
Victor Egger (1848-1909), professeur de philosophie, psychologue et épistémologue.



Pour citer cette page

« Egger, Émile (1813-1885) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Egger,_%C3%89mile_(1813-1885)&oldid=41838 (accédée le 15 novembre 2024).

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