Voir la source de Egger, Émile (1813-1885)


« M. Egger » fait le discours d’ouverture du cours de physique d’Emile [[Burnouf, Eugène (1801-1852), son épouse Reine Victoire Angélique Poiret (1804-1886) et leurs proches|Fernet]] que Marie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] suit à la Sorbonne (lettre du [[Lundi 18 novembre 1878|18 novembre 1878]]). Il s’agit d’Émile Egger, dont les discours d’ouverture des cours de l’Association pour l'enseignement secondaire des jeunes filles (années 1876 et 1878) sont publiés.<br />
Henri [[Milne-Edwards, Alphonse (1835-1900), son père Henri, leurs proches et descendants|Milne-Edwards]] suit ses conférences (lettre du [[Vendredi 24 janvier 1879|24 janvier 879]]).

Émile Egger, docteur ès-lettres (1833) est un helléniste. Il enseigne d’abord dans plusieurs lycées parisiens, puis à l’École normale supérieure en tant que maître de conférences de grammaire et enfin la littérature grecque à faculté des lettres de Paris (1855-1884). Il est membre de l’[[Institut national, Académie des sciences|Institut]] (1854). Ses biographes notent qu’il est atteint de cécité.<br />
Émile Egger épouse en 1845 Élisabeth Dehèque (1825-1910), fille de l'helléniste Félix Désiré Dehèque (1793-1870) et de Victorine Solvet (1802-1887). Ils ont trois enfants :<br />
Ida Egger (1846-1927), épouse du médecin Léon Lereboullet (1842-1914)<br />
Victor Egger (1848-1909), professeur de philosophie, psychologue et épistémologue.
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