Début octobre 1887
Fragment de lettre de Marthe Pavet de Courteille (Paris) à Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (probablement au bord du lac de Lucerne en Suisse), pages 5 et 6
[…][1] et nous sommes tombés d’accord, comme faire se doit dans un bon ménage, pour vous demander, au lieu d’une garniture de cheminée, une pendule boule avec support pour mettre dans le cabinet de Jean[2]. C’est une chose qui nous tente l’un et l’autre, mais c’est une demande bien indiscrète que nous n’aurions point osé te faire si vous ne m’aviez pas mise vous-même sur la voie. Depuis longtemps je suis habituée à me laisser gâter par mes sœurs aînées[3] et il me paraît très doux de me laisser faire.
Comment va toute la petite bande[4] ? Jeanne a-t-elle encore mal à la gorge ? Robert est-il toujours la petite perfection d’Allevard ? Dady[5] est-il toujours obligé de s’abstenir de fruits ? Marie-Thérèse a-t-elle repris toute sa gaîté ? Voilà bien des […]
Notes
- ↑ Ce fragment non daté est à situer peu de temps avant le mariage de Marthe Pavet de Courteille et Jean Dumas, le 19 octobre 1887 et après le séjour à Allevard.
- ↑ Jean Dumas.
- ↑ Marie Mertzdorff et sa sœur Émilie.
- ↑ La petite bande : les quatre enfants de Marie : Jeanne, Robert, Charles et Marie Thérèse de Fréville.
- ↑ Dady, Dédé : surnom donné Charles de Fréville.
Notice bibliographique
D’après l’original.
Pour citer cette page
« Début octobre 1887. Fragment de lettre de Marthe Pavet de Courteille (Paris) à Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (probablement au bord du lac de Lucerne en Suisse), pages 5 et 6 », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=D%C3%A9but_octobre_1887&oldid=51167 (accédée le 2 décembre 2024).
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