Buisson, Jean (né vers 1810), son fils Louis (né en 1845) et leurs proches
Charles Mertzdorff raconte les accidents survenus dans l'usine à l’un de ses contremaîtres « le Père Buisson » (lettres du 4 mai 1866 et du 28 mai 1875). Ce « M. Buisson père » est Jean Buisson.
Il est également question de « Louis Buisson ingénieur en second » (22 février 1876). Il s'agit de son fils.
Jean Buisson est contremaître blanchisseur. Il est né vers 1810, comme son épouse Marguerite Bridey. Ils ont plusieurs enfants, dont :
- Théodore Buisson (né le 3 novembre 1836 à Chauffailles en Saône et Loire). Le 6 septembre 1863 à Morschwiller il épouse (Marie) Madeleine Schultz (née le 22 juillet 1840 à Morschwiller), dont la mère, veuve, est aubergiste. Théodore Buisson employé de bureau. En 1866, lors du recensement à Morschwiller, Théodore Buisson et Madeleine Schultz ont deux fillettes, Joséphine (née en 1864) et Léontine. D'autres enfants naissent ensuite à Morschwiller.
- Joséphine Buisson (née vers 1839), brodeuse
- Louis Buisson (né vers 1845), mécanicien, ami de Léon Duméril (lettre du 22 février 1876).
Pour citer cette page
« Buisson, Jean (né vers 1810), son fils Louis (né en 1845) et leurs proches », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Buisson,_Jean_(n%C3%A9_vers_1810),_son_fils_Louis_(n%C3%A9_en_1845)_et_leurs_proches&oldid=41664 (accédée le 9 octobre 2024).
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