Voir la source de Buisson, Jean (né vers 1810), son fils Louis (né en 1845) et leurs proches


Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] raconte les accidents survenus dans l'usine à l’un de ses contremaîtres « le Père Buisson » (lettres du 4 [[Vendredi 4 mai 1866|mai 1866]] et du [[Vendredi 28 mai 1875 (A)|<u>28 mai 1875</u>]]<span style="font-size:11pt;">). Ce « M. Buisson père » est Jean Buisson.<br />
</span>Il est également question de « Louis Buisson ingénieur en second » ([[Mardi 22 février 1876 (A)|<u>22 février 1876</u>]]). Il s'agit de son fils.

'''Jean Buisson''' est contremaître blanchisseur. Il est né vers 1810, comme son épouse Marguerite Bridey. Ils ont plusieurs enfants, dont :

- Théodore Buisson (né le 3 novembre 1836 à Chauffailles en Saône et Loire). Le 6 septembre 1863 à Morschwiller il épouse (Marie) Madeleine Schultz (née le 22 juillet 1840 à Morschwiller), dont la mère, veuve, est aubergiste.  Théodore Buisson employé de bureau. En 1866, lors du recensement à [[Les propriétés et entreprises de Charles Mertzdorff et de ses successeurs|Morschwiller]], Théodore Buisson et Madeleine Schultz ont deux fillettes, Joséphine (née en 1864) et Léontine. D'autres enfants naissent ensuite à Morschwiller.

- Joséphine Buisson (née vers 1839), brodeuse

- '''Louis Buisson''' (né vers 1845), mécanicien, ami de Léon [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] (lettre du [[Mardi 22 février 1876 (A)|<u>22 février 1876</u>]]).
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