Vendredi 2 mars 1883 (B)
Lettre de Sophie Villermé, veuve d'Ernest de Fréville (Paris) à sa belle-fille Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (Vieux-Thann)
Ma bien chère Marie,
Je comprends trop tout ce que vous éprouvez pour pouvoir vous en parler en lettre.
Je veux seulement vous dire que vous êtes aimée par nous tous aussi tendrement que votre bon père[1] pouvait le désirer et que son souvenir nous restera cher et sera toujours accompagné dans notre cœur par les sentiments de respect dus à sa vie si digne et si admirable.
J’embrasse la chère petite Émilie[2] et aussi votre bonne tante[3].
Ma chère Marie, je suis tout à vous et de tout cœur.
S. de Fréville
Si Louise[4] ne peut vous écrire aujourd’hui, vous savez, n’est-ce pas, combien elle vous plaint.
2 Mars 1883
Notes
- ↑ Charles Mertzdorff, qui vient de mourir.
- ↑ Émilie Mertzdorff.
- ↑ Aglaé Desnoyers, épouse d'Alphonse Milne-Edwards.
- ↑ Louise de Fréville, épouse de Roger Charles Maurice Barbier de la Serre.
Notice bibliographique
D’après l’original.
Pour citer cette page
« Vendredi 2 mars 1883 (B). Lettre de Sophie Villermé, veuve d'Ernest de Fréville (Paris) à sa belle-fille Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (Vieux-Thann) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Vendredi_2_mars_1883_(B)&oldid=35856 (accédée le 15 novembre 2024).
D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.