Vendredi 2 mars 1883 (A)
Lettre de Louis Daniel Constant Duméril (Vieux-Thann), à sa belle-sœur Eugénie Duméril, veuve d'Auguste Duméril (Saint-Brieuc). Lettre recopiée au XIXe siècle
Lettre de Constant Duméril[1], faisant part de la mort de son gendre Charles Mertzdorff.
Né 1818
Décédé le 2 Mars 1883.[2]
*
Vieux-Thann 2 Mars 1883.
Ma chère Eugénie,
Notre bon Charles a cessé de souffrir ce matin, à six heures et demie : sans agonie, il s’est éteint. Depuis quelques jours, sa parole n’était plus nette : on ne le comprenait plus. Une demi-heure avant sa mort, il a voulu dire quelque chose, et comme Marcel[3], qui était seul, auprès de lui, ne le comprenait pas, il a fait signe qu’il voulait écrire. Marcel lui a donné un crayon, et il a marqué : « Faire venir mes enfants[4]. » Ils sont venus, en effet, et ont assisté à ses derniers moments.
Notes
- ↑ Louis Daniel Constant Duméril.
- ↑ Mentions ajoutées lors de la copie.
- ↑ Marcel de Fréville, gendre de Charles Mertzdorff.
- ↑ Émilie Mertzdorff et Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville.
Notice bibliographique
D'après un livre de copies.
Pour citer cette page
« Vendredi 2 mars 1883 (A). Lettre de Louis Daniel Constant Duméril (Vieux-Thann), à sa belle-sœur Eugénie Duméril, veuve d'Auguste Duméril (Saint-Brieuc). Lettre recopiée au XIXe siècle », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Vendredi_2_mars_1883_(A)&oldid=35853 (accédée le 15 novembre 2024).
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