Samedi 18 février 1843

De Une correspondance familiale

Lettre de la jeune Caroline Duméril (Paris) à sa tante Eugénie Duméril (Lille)

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Ma chère petite tante

J’espère que tu te portes bien. Je voudrais bien que tu me donnes des nouvelles de la famille. léon[1] est très drôle mais il a quelquefois des colères. Je serai bien contente lorsque je pourrai te voir ainsi que bon-papa et bonne-maman[2] que je la charge d’embrasser bien fort pour moi dis-leur que je les aime de tout mon cœur adieu ma chère tante. papa et maman[3] se joignent à moi pour t’embrasser autant que nous t’aimons.

Caroline Duméril.

18 février 1843


Notes

  1. Léon Duméril (né en 1840), frère de Caroline (née en 1836).
  2. Auguste Duméril l’aîné et son épouse Alexandrine Cumont.
  3. Louis Daniel Constant Duméril et son épouse Félicité Duméril.

Notice bibliographique

D’après l’original

Annexe

Mademoiselle Eugénie Duméril

Lille

Pour citer cette page

« Samedi 18 février 1843. Lettre de la jeune Caroline Duméril (Paris) à sa tante Eugénie Duméril (Lille) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Samedi_18_f%C3%A9vrier_1843&oldid=35401 (accédée le 21 novembre 2024).

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