Mercredi 19 septembre 1888
Fragment de lettre d’Émilie Mertzdorff, épouse de Damas Froissart (possiblement à Brunehautpré) à sa sœur Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (Le Houssay dans l'Orne)
[ ] Maintenant[1] que Damas[2] est là cela marchera mieux avec Jacqui[3], et puis la dent est là qui excuse tout.
Je vois que vous n’avez pas du tout l’idée de venir ici et je crains que mon petit mot d’hier ne suffise pas pour vous déterminer ; j’en serai pourtant si heureuse ! Je ne comprends pas comment vous pourrez vous caser à Launay on doit déjà y être si empilé. Il vaudrait mieux venir ici.
Adieu ma petite chérie je t’embrasse bien vite pour retourner à mes hôtes car les chasseurs vont rentrent et on sera pressé de se mettre à table.
Recevez les meilleures amitiés du vieux ménage qui a célébré hier son 5e anniversaire.
Émilie
J’ai aussi une bonne lettre de Paule[4], mais elle ne me parle pas de Marcel[5].
Notes
Notice bibliographique
D’après l’original.
Pour citer cette page
« Mercredi 19 septembre 1888. Fragment de lettre d’Émilie Mertzdorff, épouse de Damas Froissart (possiblement à Brunehautpré) à sa sœur Marie Mertzdorff, épouse de Marcel de Fréville (Le Houssay dans l'Orne) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mercredi_19_septembre_1888&oldid=55480 (accédée le 15 novembre 2024).
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