Mardi 29 février 1916
Lettre de Guy de Place (Paris) à M. Meng (Fellering)
Reçu le [6.03]
Répondu [ ] Mars
S. p. 167
Le 29 février 1916
Mon cher Monsieur Meng
Je viens de recevoir votre lettre du 17 février. Vous avez fort bien fait d’adresser d’abord à moi la réponse demande concernant Mambré et Brayé[1] ; je puis ainsi transmettre immédiatement ma manière de voir à M. Froissart[2]. C’est toutefois lui qui vous répondra, ou plutôt je ne veux pas vous répondre sans lui avoir transmis la chose, pour une simple raison d’ordre et de courtoisie. Comme il a eu plus que moi la possibilité de suivre la question dans les derniers mois il est plus [raisonnable] que je ne fasse rien sans lui en parler, et dès lors la voie la plus rapide sera qu’il vous réponde lui-même.
Quant à la taxation des chevaux vous pouvez d’autant moins l’envoyer qu’elle n’existe pas. La note de Meyer n’a aucune valeur, vous répondrez que « pour ce document-là comme pour tous les autres vous ne pouvez pas les envoyer, tout envoi de ce genre étant interdit par les règlements en vigueur en France »
A la hâte, cordialement à vous. Amitiés autour de vous
GP
Notes
Notice bibliographique
D’après l’original
Pour citer cette page
« Mardi 29 février 1916. Lettre de Guy de Place (Paris) à M. Meng (Fellering) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mardi_29_f%C3%A9vrier_1916&oldid=53473 (accédée le 21 novembre 2024).
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