Mardi 21 février 1804, 1er ventôse an XII

De Une correspondance familiale

Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à son père François Jean Charles Duméril (Amiens)

Original de la lettre 1804-02-21.jpg


n° 149

Les 1ers jours de Ventôse,

Mon cher père,

Le citoyen Penel[1], chirurgien à Abbeville, avec lequel j’avais étudié à Rouen et qui vient de se faire recevoir ici passe par Amiens en s’en retournant. Veuillez bien l’accueillir comme un de mes anciens camarades. je le charge de vous remettre une boîte que je promettais depuis longtemps de vous faire parvenir. je désire qu’elle puisse vous être agréable. je désire aussi que vous vouliez bien offrir à maman[2] la plus petite des deux boîtes.

Je vous embrasse.

C. Duméril.


Notes

  1. Pierre Amand Penel, dont la thèse de médecine Dissertation sur la bronchotomie et l'art de sonder l’œsophage, est imprimée le 5 ventôse an XII (25 février 1804).
  2. Rosalie Duval.

Notice bibliographique

D’après l’original (il existe également une copie dans le livre des Lettres de Monsieur Constant Duméril, 2ème volume, p. 109-110)

Pour citer cette page

« Mardi 21 février 1804, 1er ventôse an XII. Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à son père François Jean Charles Duméril (Amiens) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mardi_21_f%C3%A9vrier_1804,_1er_vent%C3%B4se_an_XII&oldid=60188 (accédée le 21 novembre 2024).

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