Mardi 13 août 1918

De Une correspondance familiale


Lettre de Guy de Place (mobilisé) à Jacques Meng (Fellering)


original de la lettre 1918-08-13 page 1.jpg original de la lettre 1918-08-13 page 2.jpg


Reçu le 16.8.1918
Répondu le 20 August1918

Le 13 août

Mon cher Monsieur Meng,

Rien à répondre à votre lettre du 7 août. Il n’y a qu’à laisser Frey se débrouiller avec sa Caisse[1].

Ne m’écrivez plus au secteur 237. Je vous donnerai ma Nouvelle adresse bientôt ; en attendant si d’ici huit jours il y avait quelque chose d’urgent à me faire savoir, vous pourriez m’envoyer un mot 25 rue Montparnasse.

Affaire Kiener. Demandez au Notaire chargé de la succession ce qu’il vous autorise à faire. Vous pourrez aussi faire signer par tous les héritiers une autorisation de verser 500 francs à l’un d’eux. En tous cas, prenez vos précautions, on pourrait peut-être verser l’argent au notaire lui-même au titre de la succession qui en ferait ce qu’il voudrait

Vous avez dû voir sans doute M. de Fréville[2].

Très cordialement à vous,

GP


Notes

  1. La Caisse de secours (voir la lettre du 17 octobre 1917).
  2. Charles de Fréville.

Notice bibliographique

D’après l’original

Pour citer cette page

« Mardi 13 août 1918. Lettre de Guy de Place (mobilisé) à Jacques Meng (Fellering) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mardi_13_ao%C3%BBt_1918&oldid=42593 (accédée le 22 décembre 2024).

D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.