Dimanche 28 août 1842 (B)

De Une correspondance familiale

Mot d’Alphonsine Delaroche (Paris) à son fils Auguste Duméril (Arras) accompagnant une lettre disparue

lettre du 28 août 1842(B) recopiée livre 6 page 187.jpg lettre du 28 août 1842(B) recopiée livre 6 page 188.jpg


de Mme Constant Duméril mère

Voici ce que je reçois de la rue St Victor[1] : la chose est si belle, que je n’ose y croire, et il me semble voir, par la lettre d’Eugénie, qu’elle éprouve le même sentiment que moi. Tu vas voir, mon cher enfant, ce que tu penses de tout cela : toujours, reçois mes tendres félicitations. Tu feras bien de reporter cette lettre à ta sœur[2], le plus tôt que tu pourras.


Notes

  1. Dans cette lettre qui ne nous est pas parvenue, Alexandrine Cumont, épouse d’Auguste Duméril l’aîné, donne son consentement au mariage de sa fille Eugénie avec son cousin Auguste (voir document précédent).
  2. Félicité Duméril, sa belle-sœur d’Auguste, qui habite rue Saint-Victor.

Notice bibliographique

D’après le livre de copies : lettres de Monsieur Auguste Duméril, 1er volume, « Lettres relatives à notre mariage », p. 187-188

Pour citer cette page

« Dimanche 28 août 1842 (B). Mot d’Alphonsine Delaroche (Paris) à son fils Auguste Duméril (Arras) accompagnant une lettre disparue », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Dimanche_28_ao%C3%BBt_1842_(B)&oldid=39589 (accédée le 18 décembre 2024).

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