Vincent, Charles (1817-1899) et ses proches

De Une correspondance familiale
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En 1872, cherchant une solution pour son entreprise dans l’Alsace occupée, Charles Mertzdorff entame des pourparlers avec Frédéric Seillière (1838-1889) et son associé Charles Vincent (1817-1899) (lettres du 26 février 1872 et suivantes). Charles Mertzdorff prend une assez forte participation dans cette société de Senones (Vosges).

Sa notice nécrologique[1] mentionne que Charles Vincent a fait ses études à l’Ecole nationale des Arts et Métiers (de Châlons) ; qu’il est le créateur, avec M. Fournier et Emile Lung, du chemin de fer d’Etival à Senones ; qu’il a occupé des fonctions municipales à Senones ; que son fondé de pouvoir, M. Grandidier, a collaboré avec lui pendant 50 ans ; qu’au moment de son décès à Reims il est veuf et a perdu un petit-fils. Lors de son enterrement à Senones sont présents des employés et ouvriers de la blanchisserie de Moyenmoutier, des tissages de Gerhaudel, de la Prelle, de la Petite-Raon, de Moussey, de la filature de Senones.

Au moment de son décès, en 1899, Charles Vincent est veuf et a perdu un petit-fils. Le deuil est conduit par Aimé Vincent et Maurice Vincent, ingénieur des Arts et Manufactures.

Notes



Pour citer cette page

« Vincent, Charles (1817-1899) et ses proches », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Vincent,_Charles_(1817-1899)_et_ses_proches&oldid=42380 (accédée le 24 avril 2024).

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