Possiblement 1864
Lettre (fragment ?) d’Auguste Duméril (Paris) à sa petite-nièce Marie Mertzdorff (Vieux-Thann)
[Cette lettre (ou fragment de lettre) déclassée n’est pas datée]
GRANDE BONNE-MAMAN DUMERIL[1] et moi, nous jouissons-nous bien de les lui entendre et raconter. Quand vous viendrez-nous voir à Paris, non seulement je vous taquinerai tant que je pourrai toutes les deux, mais je vous mènerai voir toutes les bêtes du jardin des plantes. Adieu, ma chère enfant, je vous envoie à Émilie[2] et à toi, deux bons baisers Ton oncle AUGUSTE
Notes
- ↑ Eugénie Duméril, épouse d’Auguste Duméril.
- ↑ Émilie Mertzdorff, petite sœur de Marie.
Notice bibliographique
D’après l’original.
Annexe
MADEMOISELLE
MARIE MERTZDORFF
HAUT RHIN
Pour citer cette page
« Possiblement 1864. Lettre (fragment ?) d’Auguste Duméril (Paris) à sa petite-nièce Marie Mertzdorff (Vieux-Thann) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Possiblement_1864&oldid=56986 (accédée le 21 novembre 2024).
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