Noailles, Henri (1857-1895) et ses proches
Dans les lettres d’Émilie Mertzdorff-Froissart il est question de la famille Noailles, dans l’Eure (3 juillet 1917-A et 5 août 1919). Il s’agit très probablement des fils d’Henri Noailles.
Henri (Jean Baptiste) Noailles (1857, Paris-1895, La Neuve-Lyre dans l’Eure) est imprimeur puis rentier. Il est le fils de (Joseph) Eugène Noailles (1824-1897), commissionnaire en marchandises et de Céline Brisset (1832-1906).
Henri Noailles épouse en 1888, à La Neuve-Lyre, Gabrielle Marie Émilie Baraguey (1865-1914) ; le couple a deux fils qui pourraient être des amis des frères Michel Froissart (né en 1891), Pierre Froissart (né en1893) et Louis Froissart (né en 1895) :
- André Noailles (1889-1940), chef de service d’entreprise de travaux publics. Il épouse en 1913, à Paris, Simone Rondeaux (1889-1958). Elle est la fille de Édouard Fernand Rondeaux (1854-1908) et la petite-fille de Henry Rondeaux (1825-1882), qui est le beau-frère de Émile Constant Rondeaux (1831-1890), marié avec Louise Mathilde Pochet. André Noailles et Simone Rondeaux ont quatre enfants : Henri Noailles (1914-1947) ; Édouard Noailles (né en 1918) ; Geneviève Noailles (1920-2000) ; Paul Noailles (né en 1923)
- Robert Henri Noailles (1895-1968), ingénieur, photographe scientifique, épouse en 1928, à Paris, Anne Marie Amélie Lancrenon (née en 1903).
Pour citer cette page
« Noailles, Henri (1857-1895) et ses proches », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Noailles,_Henri_(1857-1895)_et_ses_proches&oldid=62417 (accédée le 22 février 2025).
D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.