Mardi 6 avril 1880
Lettre d’Alfred Desnoyers (Paris) à sa « nièce » Marie Mertzdorff (Paris)
Paris 6 Avril 1880.
Ma bonne petite Marie
Je t'adresse mon modeste souvenir.
Diogène allumait sa lanterne pour trouver un homme sans y réussir. Plus favorisé que le philosophe j'espère bien, avec la mienne, avoir rencontré des gens heureux[1]. Je souhaite qu'ils le soient longtemps et toujours. C'est le vœu bien sincère de ton vieil ami
A. Desnoyers
Notes
- ↑ Marie Mertzdorff et son fiancé Marcel de Fréville.
Notice bibliographique
D’après l’original
Pour citer cette page
« Mardi 6 avril 1880. Lettre d’Alfred Desnoyers (Paris) à sa « nièce » Marie Mertzdorff (Paris) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Mardi_6_avril_1880&oldid=41022 (accédée le 15 novembre 2024).
D'autres formats de citation sont disponibles sur la page page dédiée.