Magnabal, Léon (né en 1856) et sa famille

De Une correspondance familiale


Les Léon Magnabal font partie des relations des Froissart (lettre du Vendredi 12 décembre 1913).

Joseph Germain Magnabal (1819-1894), père de Léon Magnabal, est le fils d’un cordonnier. Il est d’abord précepteur, puis il enseigne à Saint-Étienne, Toulouse et Paris (au Collège Stanislas, en 1850). Agrégé de lettres (1853), il travaille au ministère de l’Instruction publique.

En 1855, à Paris, Joseph Germain Magnabal épouse Caroline Julie Rémond, fille d’un imprimeur. Le couple a deux fils, Léon (Charles Joseph) Magnabal, capitaine au 15e régiment d’infanterie et Camille (Aristide Napoléon) Magnabal, architecte – et une fille, Cécile Julienne Charlotte Magnabal, née en 1857 à Paris.

[D’après la note note biographique d'Isabelle Havelange, Françoise Huguet et Bernadette Lebedeff, Publications de l'Institut national de recherche pédagogique, 1986, pp. 487-488]

L’état civil de Douai (Nord) indique que Léon Magnabal, capitaine d’artillerie que fréquentent les Froissart, né en 1856, et son épouse Amélie Juliette Joseph Watelet, née vers 1865, ont quatre enfants nés à Douai :

  1. Paul Magnabal, né en 1894
  2. Henri Magnabal, né en 1898
  3. Marcelle Magnabal, né en 1900
  4. Cécile Renée Marie Magnabal (1903-1986). Les Magnabal habitent alors à Douai au 2 rue Pierre Dubois.



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« Magnabal, Léon (né en 1856) et sa famille », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Magnabal,_L%C3%A9on_(n%C3%A9_en_1856)_et_sa_famille&oldid=56154 (accédée le 15 novembre 2024).

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