Les fac-similés
L’édition électronique permet d’offrir l’image des lettres à côté de leur transcription. À terme, l’essentiel des documents (ou de leur photocopie) devraient être scannés et visibles sur le site, sous forme de vignettes agrandissables, placées au-dessus de la transcription.
Pour les années 1783-1787, les lettres sont connues par des transcriptions récentes ; pour les années 1791-1795, elles sont connues par les copies faites au XIXe siècle, dans sept volumes manuscrits[1]. La première lettre originale conservée est datée du « 11 messidor an troisième » (29 juin 1795).
Le lecteur est invité à faire sa propre interprétation du texte, à découvrir les graphies et conventions anciennes (orthographe, présentation, usage de l’espace de la feuille, etc.) et les fantaisies graphiques des épistoliers.
Note
- ↑ Voir la monographie : "Les livres de copies".
Pour citer cette page
« Les fac-similés », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Les_fac-simil%C3%A9s&oldid=31278 (accédée le 18 décembre 2024).
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