Jeudi 9 janvier 1800, 19 nivôse an VIII

De Une correspondance familiale

Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à sa mère Rosalie Duval (Amiens)


Original de la lettre 1800-01-09.jpg


n° 122

Paris le 19 Nivôse an 8

Maman,

Vous aurez aussi un petit mot pendant que je suis en train. il faut bien que je me rappelle à votre amitié, que je vous dise que je me porte bien. Auguste[1] en vous écrivant vous aura mandé tout ce qui l’intéresse. quant à moi j’ai raconté à Désarbret tout ce qui me regarde et il vous en fera part. Que vous dirai-je maintenant ? Je ne vous parlerai pas de l’état de gêne dans lequel je suis, cela est fort inutile.

Je vous embrasse ainsi que papa[2]

Votre fils C. Duméril.


Notes

  1. Auguste (l’aîné) et Joseph Marie Fidèle dit Désarbret, frères d’André Marie Constant Duméril.
  2. François Jean Charles Duméril.

Notice bibliographique

D’après l’original (il existe également une copie dans le livre des Lettres de Monsieur Constant Duméril, 2ème volume, p. 73)

Annexe

A la citoyenne Duméril la mère

A Amiens

Pour citer cette page

« Jeudi 9 janvier 1800, 19 nivôse an VIII. Lettre d’André Marie Constant Duméril (Paris) à sa mère Rosalie Duval (Amiens) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Jeudi_9_janvier_1800,_19_niv%C3%B4se_an_VIII&oldid=40178 (accédée le 21 novembre 2024).

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