Ansiaux, M. (actif dans la première moitié du XIXe siècle)
A la fin de sa vie, lisant les Impressions et souvenirs, 1812-1872 d'un condisciple (François Chon) Charles Auguste Duméril remarque : « J’y ai revu les noms de plusieurs de mes anciens professeurs : M.M. Broudéhoux, Ansiaux, Delezenne » (lettre du 23 janvier 1883).
Dans un autre exercice de mémoire, le publiciste et homme politique Alfred Darimon (1819-1902) évoque sa scolarité lilloise aux côtés du « général Faidherbe » dans un article du Figaro (25 octobre 1896). Darimon mentionne le nom d'anciens professeurs et écrit : « C'est à partir de la seconde que l'étude des mathématiques prit la première place dans nos préoccupations. Nous avions pour professeur M. Ansiaux, nature fruste et rustique, qui avait débuté, disait-on, par le métier de maréchal-ferrant. Quand il scandait un vers de Virgile, on eût dit qu'il suivait le rythme du marteau frappant sur l'enclume. »
Pour citer cette page
« Ansiaux, M. (actif dans la première moitié du XIXe siècle) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Ansiaux,_M._(actif_dans_la_premi%C3%A8re_moiti%C3%A9_du_XIXe_si%C3%A8cle)&oldid=31326 (accédée le 8 décembre 2024).
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