Marchand, André
Dans une lettre de fin août 1860, Auguste Duméril fait allusion à une boutique ouverte par M. Marchand. Parent du zoologiste Félix Edouard Guérin-Méneville, André Marchand est négociant. Installé à Paris rue des Petites Ecuries, il fournit aux éleveurs de vers à soie tout ce qui leur est nécessaire, en particulier les graines de l’ailante étudiées et expérimentées par Guérin-Méneville à la demande de Napoléon III. Il fonde L’Ailantine, société séricicole pour le développement de cette culture, et correspond aussi bien avec des producteurs de Melbourne ou d’Odessa qu’avec des propriétaires et éleveurs français.
Pour citer cette page
« Marchand, André », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Marchand,_Andr%C3%A9&oldid=42081 (accédée le 12 décembre 2024).
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