Lawrence, William (1783-1867) et son épouse
En 1851, lors de son voyage à Londres, Auguste Duméril est introduit auprès de ce « célèbre chirurgien » (lettre du lundi 9 juin 1851). Il assiste à l’une des opérations qu’il pratique devant des étudiants, à l’hôpital Saint-Barthélemy ; il est invité ensuite dans sa luxueuse résidence dans les environs de Londres.
Le Traité des hernies de Lawrence paraît en France en 1818, traduit de l'anglais par Jules Cloquet et Pierre Auguste Béclard. Le cours qu’il dispense sur les maladies des yeux est traduit et complété Charles Michel Billard en 1830 (Traité pratique sur les maladies des yeux ou Leçons données à l'infirmerie ophtalmique de Londres en 1825 et 1826...).
Lawrence est élu correspondant de l'Académie des sciences (section de médecine et chirurgie) en 1863.
Pour citer cette page
« Lawrence, William (1783-1867) et son épouse », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Lawrence,_William_(1783-1867)_et_son_%C3%A9pouse&oldid=42713 (accédée le 15 novembre 2024).
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