Herrgott, Jean Pierre (1818-1860)

De Une correspondance familiale

En 1860 Caroline Duméril-Mertzdorff raconte l'accident mortel survenu à l'un de leurs employés, « un nommé Herrgott » qui « est tombé en voulant descendre d'une de nos grosses voitures sans l'arrêter, la roue lui a attrapé la jambe et la lui a abîmée, quelques jours après la gangrène s'y est mise et il est mort. C'était un honnête garçon qui avait été 14 ans militaire et qui allait se marier. » (lettre du 3 octobre 1860).

Lorsqu'il décède à l'hospice de Thann, le 28 septembre 1860, Jean Pierre Herrgott est âgé de 42 ans, « domestique », célibataire, né à Mitzach et domicilié à Vieux-Thann depuis 2 ans.
Il est fils de Pierre Herrgott, journalier et d’Élisabeth Schmitt, tous deux décédés avant 1860. Jean Pierre Herrgott a au moins deux frères :
Érasme Herrgott, né en 1824, journalier à Fellering
Jacques Herrgott, né en 1825, imprimeur d'indiennes à Mitzach.



Pour citer cette page

« Herrgott, Jean Pierre (1818-1860) », Une correspondance familiale (D. Poublan et C. Dauphin eds.), URI: https://lettresfamiliales.ehess.fr/w/index.php?title=Herrgott,_Jean_Pierre_(1818-1860)&oldid=41932 (accédée le 19 avril 2024).

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