Voir la source de Soubeiran, Eugène (1797-1858), son fils Jean Léon (1827-1892) et leurs descendants


Les [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] fréquentent les pharmaciens Soubeiran ; André Marie Constant [[Duméril, André Marie Constant (1774-1860)|Duméril]], Eugène Soubeiran ; puis Auguste [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]], son fils Jean Léon. Les familles continuent de se rencontrer.

Eugène Soubeiran, né et mort à Paris, étudie à Montpellier et à Paris. Il découvre le chloroforme (1831). Il est nommé pharmacien en chef à l’Hospice de la Pitié, chef de la pharmacie centrale des [[Paris : les hôpitaux (première moitié du XIXe siècle)|hôpitaux]] et hospices civils de Paris et professeur à l’Ecole de pharmacie en remplacement d’[[Orfila, Mathieu Joseph Bonaventure (1787-1853) et son fils Pierre Henri (vers 1825-vers 1861)|Orfila]]. Il est membre de l'[[Académie de médecine|Académie royale de médecine]], de la [[Société Philomathique de Paris|Société philomathique]], de la Société de pharmacie, membre correspondant de la [[Académie de Rouen, Société d’émulation de Rouen|Société libre d’émulation de Rouen]], de la Société des pharmaciens du nord de l'Allemagne.Il édite un ''Manuel de pharmacie théorique et pratique'' (1827) puis un ''Traité de pharmacie théorique et pratique'' (nombreuses éditions à partir de 1847), un ''Précis élémentaire de physique'' (1842) et divers ouvrages, en particuliers sur les eaux minérales ; il intervient comme expert dans le procès du manufacturier en orfèvrerie Charles-Henri Christofle (1847).

En 1827 Eugène Soubeiran épouse Cecilia Olympe Bosc (1805-1854). Ils ont deux enfants :

- Jean Léon Soubeiran (1827-1892). Il fait lui aussi des études à Montpellier et à Paris. Il soutient sa thèse de pharmacie : ''Des applications de la botanique à la pharmacie'' en 1854 et sa thèse de médecine : ''Propositions sur la vipère'' en 1855. Il est professeur agrégé à l’Ecole de pharmacie de Paris (1855-1874) puis professeur de pharmacie à la Faculté de médecine de Montpellier. Il succède à Auguste [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] au poste de secrétaire de la Société d'Acclimatation de Paris (1861). Jean Léon Soubeiran publie une soixantaine d’ouvrages sur l’ostréiculture, la pêche, des pays lointains, la médecine chinoise, un livre d’''Hygiène élémentaire'' (1874), etc.<br />
Jean Léon Soubeiran épouse Marie Anne Dendney (†1907)

- Alice Soubeiran (1833-1915) épouse en 1856 Jules (Antoine) Regnauld (1820-1895), professeur à la faculté de médecine de Paris, directeur de la pharmacie centrale des hôpitaux, membre en 1869 de l'Académie impériale de médecine. Le couple Regnauld-Soubeiran a deux enfants :<br />
Eugène Regnauld,<span style="color:#000000;"> marié en 1885 avec Marthe Blachez<br />
Lucie </span>Regnauld (1860-1944), mariée avec Charles Lucien de Beurmann (1851-1923).
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