Voir la source de Paris : adresses de la famille Duméril


[[Fichier:Plan Paris 1818 DUMERIL.jpg|300x300px]]   

''<small>Lieux de résidence et d'activité de la famille Duméril - Cartographie d'Anne Varet-Vitu d'après un document de 1818 exposé au Musée de l'Assistance publique à Paris</small>''


André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] quitte sa ville natale d’Amiens pour Rouen en 1791, puis entre à l’[[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|Ecole de santé]] de Paris en 1795. Il ne quitte plus la capitale, occupant avec sa famille plusieurs appartements successifs (pour se rapprocher de ses lieux de travail), avant de s’installer au [[Muséum, Jardin des Plantes, Jardin du roi, Cabinet d’Histoire naturelle du roi|Jardin des Plantes]].

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1795 : '''rue de Gaillon''' (lettre du [[Samedi 21 février 1795 (B), 3 ventôse an III|21 février 1795-B]])

1811 : '''rue de l’Estrapade'''

1813 : André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] déménage au 180 '''rue Montmartre''' pour se rapprocher de l’[[Paris : Maison de santé|hospice Saint-Laurent]]. Sa belle-mère, Marie [[Castanet, Honoré (1705-1765) et ses proches|Castanet]], veuve de Daniel [[Delaroche, Daniel (1743-1812), son épouse Marie Castanet, leurs enfants Michel, Alphonsine et Etienne François, et leurs proches|Delaroche]], vient habiter le même immeuble (lettre du [[Dimanche 31 janvier 1813|31 janvier 1813]]) et sa sœur Elisabeth [[Castanet, Honoré (1705-1765) et ses proches|Castanet]] quitte son petit appartement 2 '''rue Favart''' pour s’installer chez elle.

1814 : Elisabeth [[Castanet, Honoré (1705-1765) et ses proches|Castanet]] quitte la maison de sa sœur pour le 4 faubourg Montmartre.

1815 : 3 '''rue du Faubourg Poissonnière'''. Marie [[Castanet, Honoré (1705-1765) et ses proches|Castanet]] habite là aussi. Alphonse Brot décrit ainsi le quartier en 1844 : « Le faubourg Poissonnière a une physionomie qui lui est propre. Tous les éléments dont se compose la population d’une grande ville s’y trouvent réunis. Il n’est pas exclusivement livré au commerce comme les faubourgs Saint-Denis et Saint-Martin ; à l’industrie, comme les faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau ; à la haute finance, comme la Chaussée-d’Antin ; à l’aristocratie de fraîche date, comme le faubourg Saint-Honoré ; à l’aristocratie de vieille roche, comme le faubourg Saint-Germain. Il est tout et il n’est rien ; un élément y domine pourtant : la riche bourgeoisie y tient le haut du pavé. Il est tranquille sans être triste, animé sans être bruyant. On sent circuler la vie, mais une vie sans passions, sans orages. Enfin avec l’abattoir de la rue Rochechouart, le Conservatoire et l’usine à gaz, il éclaire, nourrit et amuse une partie de Paris. Est-il beaucoup de faubourgs aussi bien partagés ? » (''Les Rues de Paris'', ouvrage illustré, « rédigé par l’élite de la littérature contemporaine sous la direction de Louis Lurine »).

1830 : [[Muséum, Jardin des Plantes, Jardin du roi, Cabinet d’Histoire naturelle du roi|Jardin des Plantes]], 7 '''rue Cuvier'''. André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] conserve le Faubourg Poissonnière pour sa clientèle médicale.

1833 : en juin, changement de maison. Louis Daniel Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] et son épouse Félicité habitent d’abord avec les parents [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]], avant de s’installer '''rue Saint-Victor''' puis '''quai de Béthune'''.

1843 : Auguste [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] et son épouse Eugénie vont vivre au [[Muséum, Jardin des Plantes, Jardin du roi, Cabinet d’Histoire naturelle du roi|Jardin des Plantes]] avec les parents (lettre [[Mardi 21 février 1843|21 février 1843]])

1851 : Louis Daniel Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] doit se rapprocher du centre-ville pour ses affaires : ils occupent un appartement 32 boulevard Poissonnière. Ils le quittent pour la rue de la Femme sans Tête (1854) puis pour le 9 '''rue des Lions-Saint-Paul''' (1857).

1852 : après la mort de sa femme Alphonsine [[Delaroche, Daniel (1743-1812), son épouse Marie Castanet, leurs enfants Michel, Alphonsine et Etienne François, et leurs proches|Delaroche]], André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] vit au [[Muséum, Jardin des Plantes, Jardin du roi, Cabinet d’Histoire naturelle du roi|Jardin des Plantes]] chez son fils Auguste, 13 rue Cuvier.
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