Voir la source de Marjolin, Jean Nicolas (1780-1850)


André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] appelle plusieurs fois le docteur Marjolin en consultation auprès de membres de la famille : en février 1836, il obtient que ce chirurgien examine son neveu (qui souffre d’un grave problème oculaire) aux côtés des docteurs [[Velpeau, Alfred Armand Louis Marie (1795-1867)|Velpeau]] et [[Sichel, Jules (1802-1868)|Sichel]] ; il est appelé aussi, avec le docteur Chomel<u>,</u> auprès de Charles [[Cumont, Jean Baptiste (1750-1848) et ses descendants|Declercq]] (en 1845) et auprès de Michel [[Delaroche, Daniel (1743-1812), son épouse Marie Castanet, leurs enfants Michel, Alphonsine et Etienne François, et leurs proches|Delaroche]] (en 1847).

Jean Nicolas Marjolin est un chirurgien, membre de l'[[Académie de médecine|Académie de médecine]] et médecin du roi. Il enseigne d’abord, à titre privé, la pathologie externe dans un amphithéâtre de la rue Saint-Julien-le-Pauvre, avant d’être nommé à la [[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|Faculté de médecine]] (1818). Il publie en 1812 un ''Manuel d'anatomie, contenant l'exposition des méthodes les plus avantageuses à suivre pour disséquer, injecter, conserver les parties qui composent le corps de l'homme, et pour procéder à l'ouverture et à l'examen des cadavres'' et en 1836 son ''Cours de pathologie chirurgicale, professé à la Faculté de médecine''.
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