Voir la source de Leclerc, Claude (1762-1808)


André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] cite Leclerc parmi ses professeurs à l’[[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|é]][[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|cole de Santé]] en 1795 ; il enseigne la clinique interne à la Charité comme adjoint de [[Corvisart, Jean Nicolas des Marets (1755-1821)|Corvisart]]. En mars 1801, [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] le remplace comme professeur adjoint d’anatomie et de physiologie à l’Ecole de médecine de Paris, Leclerc devenant professeur de médecine légale. [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] et Leclerc se retrouvent plus tard au cours d’une mission médicale en Espagne ([[Lundi 3 décembre 1804, 12 frimaire an XIII|1804]] et [[Mai 1805, prairial an XIII|1805]]). Ils se côtoient également en 1806, lorsque Napoléon les consulte tous les deux, avec [[Chaussier, François (1746-1828)|Chaussier]] et [[Hallé, Jean Noël (1754-1822)|Hallé]], sur l’opportunité de créer une école française de cires anatomiques : ils font une réponse enthousiaste.

A la mort de Leclerc et de Cabani en 1808, [[Sue, Pierre (1739-1816)|Sue]] reprend les deux chaires (médecine légale et histoire de la médecine) à l’[[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|Ecole de médecine]]. Leclerc publie un ''Tableau comparatif de la petite vérole et de la variolette'' (1803). Claude Leclerc, chirurgien, est mentionné comme médecin de l'Impératrice Joséphine.

Claude Leclerc apparaît également sous le nom de Claude Barthélemy Jean Le Clerc.
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