Voir la source de Descot, MM. (actifs au début du XIXe siècle)


Dans les lettres des [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] des années 1812-1814, se trouve mentionnés «M. Descot » et «Descot fils ».

On trouve plusieurs Descot dans le monde médical parisien à cette époque.

Fin 1794, « le citoyen Descot, ancien premier commis de la ci-devant [[Ecole de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|Société de médecine]] » est nommé « chef des bureaux de l'[[École de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|École de santé]] ». Cette fonction de chef des bureaux est confirmée à Pierre Descot en mars 1795, en même temps que celle de commis principal pour François Pierre Descot. Plus tard, en 1808, Pierre François Descot est mentionné comme secrétaire du conseil d’administration de l’[[Ecole de santé de Paris, Faculté de médecine de Paris, Société de l’École de médecine|École de médecine]] (lors d’une demande de passeport).

Par ailleurs, sont mentionnés J. F. Descot (auteur en 1810 d’une thèse de médecine : ''Des ophtalmies en général''), et Pierre Jules Descot (auteur en 1822 d’une thèse de médecine : ''Dissertation sur les affections locales des nerfs'', travail fait sous la direction de Pierre Auguste [[Béclard, Pierre Auguste (1785-1825) et son fils Jules (1817-1887)|Béclard]]).{{Biographie
|personnes citées=Descot (M.) ;
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