Voir la source de Beha, M. (actif pendant la guerre de 1914-1918)


Pendant la guerre de 1914-1918, il est question des affaires de M. Beha dans les lettres de (et à) Guy de [[Place, Guy de (1874-1928) et sa famille|Place]].

M. Béha : « un citoyen de [[Vieux-Thann et Thann (Haut-Rhin)|Vieux-Thann]] qui fit beaucoup de volume au moment de la reprise de ce coin de l’Alsace, en 1914 » (lettre de Damas [[Froissart, Damas (1852-1923), ses proches et sa famille|Froissart]] à son fils, [[Mercredi 11 septembre 1918|11 septembre 1918]]).

A la fin du XIX<sup>e</sup> siècle est signalée, à [[Vieux-Thann et Thann (Haut-Rhin)|Thann]], « derrière la station de chemin de fer », « la Fonderie J. Beha fils, à laquelle est adjoint un atelier de construction ».<br />
L’en-tête d’un papier de 1912 précise que la Société de Forges, Fonderies et Construction de Machine, « Etablissements [[Berger, Louis (1829-1898)|Berger]]-[[André, Jacques (1799-1850), son épouse Marie Barbe Bontemps et leurs proches|André]] &amp; Beha réunis » a son siège social à Paris et des usines et succursales à [[Vieux-Thann et Thann (Haut-Rhin)|Thann]] et Berlin.
{{Biographie 
      |id=1000-01 
      |personnes citées=Beha (M.) 
      |lieux cités= 
      |catégorie=Biographie 
      }}