Voir la source de 1860 – Notes de Caroline Duméril, épouse de Charles Mertzdoff, lors d’un séjour à Montataire (17-24 mai)


- Jeudi<sup><ref>Ces notes détaillent des visites autour de [[Montataire (forges)|Montataire]], où habitent Éléonore Vasseur (alliée aux [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]]) et son époux André [[Fröhlich, André (1794-1871) et sa famille|Fröhlich]], gérant des forges. Aucune date n’est mentionnée. Cependant, on peut dater ce voyage Caroline [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]], épouse de Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]], du 17 au 24 mai 1860. 1860, car la feuille est classée dans les archives familiales avec les lettres de cette année-là et qu’il est fait allusion aux premiers pas de Marie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] (née le 15 avril 1859). Plus précisément, la [[Dimanche 13 mai 1860|lettre du 13 mai]] de Caroline [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] annonce que le mardi 15 Mme [[Fröhlich, André (1794-1871) et sa famille|Fröhlich]] viendra à Paris et qu’elle « compte absolument sur nous deux » [Caroline et sa fille Marie] puis Eugénie [[Desnoyers, Jules (1800-1887) et ses descendants|Desnoyers]], dans une [[Vendredi 25 mai 1860|lettre du 25 mai]], parle du voyage effectué par Caroline à [[Montataire (forges)|Montataire]].</ref></sup> promenade à Thiverny<sup><ref>Village proche de [[Montataire (forges)|Montataire]].</ref></sup> petit village anciennement assez considérable petite église gentille à l'extérieur

- Vendredi voyage à Senlis belle ville ancien évêché, grande église bien ornée et d'une belle architecture, sous-préfecture, hôtel de ville, caserne dans une ancienne église bien bâtie et remarquable par ses ornements extérieurs. Grand nombre de ruines et de très anciennes maisons.

- Samedi promenade à Nogent les Vierges<sup><ref>Actuellement Nogent-sur-Oise.</ref></sup> ainsi nommé à cause de deux jeunes princesses qui y furent martyrisées, le village est fort long mais très étroit et peu remarquable.

- Dimanche messe à Thiverny les paroissiens sont si peu nombreux que l'on sonne trois fois pour annoncer la célébration du service personne ne vient, et après une heure d'attente le prêtre est obligé d'aller lui-même dans le village pour convier les fidèles mais deux ou trois vieilles femmes un homme et quelques enfants répondent seulement à son appel

- Lundi promenade sur les bords de l'Oise, maison de l'éclusier, propriété de M. Juliette retour à l'usine par la grande route de Creil

- Mardi pêche sur les bords de l'Oise le vent est tellement fort que rien ne mord à l'hameçon

- Mercredi promenade à Nogent. Marie<ref>La petite Marie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]].</ref> nous accompagne et marche pour la première fois dans la campagne elle donne les deux mains et fait d'assez longs bouts de chemin sans paraître fatiguée

- Jeudi voyage à Pont S<sup>te</sup> Maxence
==Notes==
<references />
==Notice bibliographique==
D’après l’original
==Document(s) à télécharger==

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      |auteurs=Duméril (Caroline – épouse Mertzdorff); 
      |personnes citées=Juliette (M.) ; Mertzdorff (Marie – épouse de Fréville) ; 
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      |date de rédaction=17 mai 1860
      |catégorie=Papiers familiaux et documents divers 
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[[Catégorie:1858-1883 : autour de Charles Mertzdorff]]