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Marie [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] et son époux Marcel de [[Fréville, Marcel de (1851-1912) et sa famille|Fréville]] passent l'été 1880 à Villers-sur-mer. Marie, même si elle garde peu de souvenirs des lieux, connaissait déjà la ville : elle y avait passé l'été 1868 avec sa famille.

Villers-sur-mer est à cette époque une petite station balnéaire du Calvados. En 1882 elle compte moins de 1 500 habitants permanents. Son développement est lié à celui de  ses moyens d’accès : route côtière jusqu'à Trouville empruntée par un service d’omnibus (1861), mise en fonction de la ligne de chemin de fer Paris-Deauville (1863) et construction de la ligne Trouville-Cabourg passant par Villers-sur-Mer (1862-1884).<br />
Parallèlement, de nombreuses constructions s'élèvent : hôtels, cafés et restaurants, usine pour gaz d’éclairage (1860), blanchisseries, nouveau casino (1878), bazar (1880), lotissements. Raoul [[Des Cloizeaux, Marie (1857-1931) et sa famille|Paris d’Illins]], premier grand propriétaire terrien avant le développent de la station et propriétaire du château de Villers-sur-Mer, vend ses vergers et ses prairies des falaises. Auguste Louvard, propriétaire terrien parisien, vend une partie de ses terrains et en lotit d’autres, situés en bord de mer, pour fonder dans les années 1860-1865 les Chalets Louvard, dont se souvient Marie (lettre du [[Lundi 19 juillet 1880|19 juillet 1880]]).
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