Voir la source de Viel Castel, Charles Salviac de (1766-1821) et ses proches


Dans les années 1820, les [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] sont amenés à rencontrer les Viel Castel lors des séjours d’Alphonsine à Sceaux : Charles Salviac de Viel Castel et ses fils, Horace (ami de Suzanne de Carondelet, non mentionné dans les lettres) et son frère, sous-préfet.

'''Charles Salviac de''' '''''' '''Viel Castel''' (1766-1821)

Le comte Charles Salviac de Viel Castel a d’un premier mariage un fils, Charles, dit Théodore et d’un second mariage (avec la nièce de Mirabeau, en 1797) d’autres enfants, dont Horace. Au retour d’émigration, il entre avec sa femme au service de l’ancienne impératrice Eugénie (1810). Il est fait baron. Il exerce comme sous-préfet sous la Restauration.

'''Charles''' '''''' '''de''' '''''' '''Viel Castel, dit Théodore''' (1790-1830)

Il est admis comme élève pensionnaire à l’Ecole spéciale militaire (1808) et devient auditeur au Conseil d’État (1810). Il est nommé sous-préfet à Sceaux en août 1815, puis sous-préfet de Nogent-sur-Seine en août 1818. Son père est nommé sous-préfet à Sceaux en décembre 1818, et lorsqu’il meurt en 1821 son fils est nommé une nouvelle fois à la sous-préfecture de Sceaux (juin 1821). C’est à ce moment-là qu’Alphonsine [[Delaroche, Daniel (1743-1812), son épouse Marie Castanet, leurs enfants Michel, Alphonsine et Etienne François, et leurs proches|Delaroche]] le mentionne, faisant allusion à la mort de son père (André Marie Constant [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] reçoit une invitation pour le convoi). Il devient ensuite sous-préfet à Neufchâtel (1824), puis à Dieppe (1825), avant de démissionner (1828).

'''Horace de Viel Castel''' (1802-1864)

Né à Paris, il réside dans son enfance à Versailles, avant d’entrer en pension à Paris (1818) ; il passe alors ses dimanches à Sceaux. C’est là qu’il rencontre Suzanne de [[De Carondelet – de Tarlé – de Milhau (famille)|Carondelet]], amie d’Alphonsine [[Delaroche, Daniel (1743-1812), son épouse Marie Castanet, leurs enfants Michel, Alphonsine et Etienne François, et leurs proches|Delaroche]] et des [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]]. Il évoque cette relation amoureuse adolescente dans ses ''Mémoires sur le règne de Napoléon III (1851-1864)'', manuscrit publié après sa mort (texte intégral présenté et annoté par Eric Anceau, 2005, Robert Laffont).
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