Voir la source de Stehelin, Édouard (1836-1927) et sa famille


La famille Stehelin est mentionnée par Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] en 1870 puis par Guy [[Place, Guy de (1874-1928) et sa famille|de Place]] pendant la guerre de 1914-1918. C’est une dynastie de manufacturiers alsaciens.

Jérôme (Hieronymus) Stehelin (1771-1857), maître de forge, et son épouse Christine Scoenauer (1779-1820) ont 2 fils :

1- Charles Stehelin (1805-1848), maître de forge, marié en 1829 dans les Vosges avec Amélie Billing (1810-1884). Ils ont deux fils:<br />
- Charles Stehelin (1834-1893)<br />
- Émile (Charles Adolphe) Stehelin (1837-1918, Canada), industriel à Bitschwiller puis propriétaire d'une scierie à Weymouth Bridge au Canada. Émile Stehelin épouse en 1869, à Marseille, Marie Thérèse Buisson (1849-1910, Canada), fille de Jean Amboise Buisson et Clothilde Sidonie Caret (mariés en 1843 à Marseille). Marie Thérèse Buisson a une sœur (lettre du [[Lundi 5 et mardi 6 juin 1876|5 juin 1876]]).<br />
Émile Stehelin et Marie Thérèse Buisson ont 12 enfants.

2- Édouard Stehelin (Bâle, 1809-1904), ingénieur civil des mines. En 1835 il épouse Elisa Zeller (Oberbruck, 1818-1902). Ils ont cinq enfants, dont<br />
- Édouard Stehelin (Oberbruck, 1836-Bitschwiller, 1927), qui épouse à [[Vieux-Thann et Thann (Haut-Rhin)|Thann]], en 1862, Sophie [[Scheurer-Kestner, Auguste (1833-1899) et la famille Scheurer|Scheurer]]. Ils ont deux fils :<br />
. Georges Édouard Stehelin (Bitschwiller, 1863-1937) qui s’occupe de l’entreprise familiale. Avec sa première épouse Blanche Strohl il a quatre enfants ; en 1910 il se remarie avec Élisabeth Julie Esther Speiser<br />
. Fernand Stehelin (né en 1867 à Bitschwiller).<br />
- Élisabeth Stehelin (1837-1925), qui épouse en 1862 Heinrich Alexander (Henri Alexandre) [[Bindschedler, Madeleine Marie (1863-1911) et ses sœurs|Bindschedler]] (1827-1867) ; ils ont trois filles (lettre du [[Samedi 26 juillet 1879|26 juillet 1879]]).

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Édouard Stehelin père et fils créent société textile à Cernay et sont associés dans une société de fonderies et mines. Après l'annexion de l'Alsace (1872), le fils quitte Bitschwiller pour les Vosges où il possède une usine de tissage et opte pour la nationalité française. Cependant, il revient en Alsace (à Bitschwiller) pour s'occuper de ses affaires, gérées par Charles [[Martinot, Paul (né en 1872) et sa famille|Martinot]] et Victor Peters. En 1900 la société devient Société [[Martinot, Paul (né en 1872) et sa famille|Martinot]] et [[Galland, Gustave (né en 1820) et ses proches|Galland]].<br />
[Voir la monographie sur les ateliers de [[Bitschwiller (le haut-fourneau Stehelin, Martinot et Galland)|Bitschwiller]]]
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