Voir la source de Lalance, Auguste (1830-1920) et sa mère


Fin 1875 « M. Lalance » négocie avec Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]], au nom de M. [[Haeffely, Henri (1816-1877)|Haeffely]], pour la location de l’usine de [[Les propriétés et entreprises de Charles Mertzdorff et de ses successeurs|Morschwiller]]. Il s’agit probablement d’Auguste Lalance, déjà associé à Henri [[Haeffely, Henri (1816-1877)|Haeffely]] (plutôt que l’un de ses frères).  

Auguste Lalance est fils de l’industriel Auguste Lalance (1802-1842) et de Mélanie Koechlin (1809-1881 ; Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] signale son décès : lettre du 29 janvier 1881B). En 1845 il entre aux ateliers de son oncle André Koechlin, démissionne en 1855 pour fonder sa propre entreprise en Angleterre et voyager. A son retour en Alsace en 1868 il épouse Amélie Weiss (fille du chimiste Georges Weiss). En 1870 Auguste Lalance s'associe à Henry [[Haeffely, Henri (1816-1877)|Haeffely]] et Gustave [[Schaeffer, Gustave (1815-1895) et ses descendants|Schaffer]] dans l'Etablissement d'Impression, de Teinture et de Blanchiment de Pfastatt. Au moment de l'annexion il s'engage dans la vie politique en tant que protestataire au Reich. Après un séjour à Paris, il revient en 1910 s'établir à [[Mulhouse|Mulhouse]] où il se consacre principalement aux fondations qu'il a créées en 1901 et 1903 : l'Union Home vouée au logement social et le Sanatorium Lalance.

Auguste Lalance a deux frères, Ernest Lalance (1833-1885), dessinateur, et Amédée Lalance (1839-1910), ingénieur à [[Vieux-Thann et Thann (Haut-Rhin)|Thann]].
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