Voir la source de Fröhlich, André (1794-1871) et sa famille


Petite cousine d’Alexandrine [[Cumont, Jean Baptiste (1750-1848) et ses descendants|Cumont]] (épouse d’Auguste [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] l’aîné), Éléonore [[Cumont, Jean Baptiste (1750-1848) et ses descendants|Vasseur]] vit à Lille. Elle est mentionnée dans les lettres des années 1841-1843, durant la période des fiançailles d’Auguste et d’Eugénie, servant d’intermédiaire pour transmettre les lettres entre les jeunes gens dont la correspondance est étroitement surveillée, sinon interdite.

Éléonore [[Cumont, Jean Baptiste (1750-1848) et ses descendants|Vasseur]] se marie le 30 août 1846 à la mairie et le 31 août à l'église Saint-Maurice à Lille avec André Fröhlich ; elle a 39 ans et son mari 53 ans (il est né en 1794 à Ribeauvillé dans le Haut-Rhin). André Fröhlich est veuf de Fébronie van Ruymbeke (1798-1845). André Fröhlich est alors gérant des Forges et Fonderies de [[Montataire (forges)|Montataire]], ville industrielle située à une cinquantaine de kilomètres de Paris. Il apporte en mariage une fortune de 277 000 francs, indépendamment de son traitement annuel de 10 000 francs ; Éléonore apporte 24 000 francs.<br />
André Fröhlich est maire de [[Montataire (forges)|Montataire]] de 1832 à 1870.

André Fröhlich et Éléonore [[Cumont, Jean Baptiste (1750-1848) et ses descendants|Vasseur]] ont deux filles, Adèle, née en novembre 1848, et Marie (1851-1909) ; un petit garçon, Henri André, né en décembre 1849, ne survit pas.

André Fröhlich est parrain en 1849 d’un enfant de Louis Daniel Constant et Félicité [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]], qui meurt en bas âge. Dans les années 1855-1858, Caroline [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] rend souvent visite à ses cousines de [[Montataire (forges)|Montataire]] et les mentionne dans ses lettres. Les Fröhlich font partie de la quarantaine de personnes invitées, à Paris, au repas de noces de Caroline [[Duméril, François Jean Charles (1733-1823) et ses descendants|Duméril]] et Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]] (juin 1858). Eugénie [[Desnoyers, Jules (1800-1887) et ses descendants|Desnoyers]], seconde épouse de Charles [[Mertzdorff, Charles (1818-1883) et sa famille|Mertzdorff]], signale le décès d’André Fröhlich (lettre du [[Mardi 5 et mercredi 6 décembre 1871|5 décembre 1871]]). Les deux familles restent en relation.

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Il est question d’un neveu de « M. Fröhlich de [[Montataire (forges)|Montataire]] », curé (lettre du [[Jeudi 25 mars 1875 (A)|25 mars 1875]]).
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      |personnes citées=Vasseur (Eléonore – épouse Fröhlich);Fröhlich (André);Fröhlich (Adèle);Fröhlich (Marie);Vasseur (Eléonore – épouse Fröhlich);Fröhlich (famille);Vasseur (Eléonore – épouse Fröhlich);Fröhlich (M.) 
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